13 décembre 2009
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Rom Houben a été considéré à tort comme étant dans un coma végétatif depuis l'âge de 20 ans. il a été délivré de son calvaire par le neurologue Steven Laureys de l'université de Liège qui a découvert, il y a trois ans, que son cerveau était intact. Rom Houben était éveillé, mais incapable de communiquer car emprisonné dans un corps totalement paralysé. il va écrire un livre pour raconter son incroyable histoire. Avant son accident de la route le 19 novembre 1983, Rom parlait quatre langues, le français, le néerlandais et l'anglais ainsi qu'un peu d'allemand. "Et aujourd'hui, il est encore capable de communiquer dans ces langues" mais "par le biais d'un ordinateur", explique le DR Steven Laureys. Son cas a été rendu public dans le cadre d'une étude sur les erreurs de diagnostic chez lespersonnes souffrant de troubles de la conscience, dirigée par le neurologue.
Erreur de diagnostic
Ces erreurs de diagnostic sont fréquentes. Selon l'étude, "le taux d'erreur du diagnostic de l'état végétatif n' a guère changé depuis quinze ans, quand il était évalué à 43%".
Après son accident, Rom Houben, aujourd'hui âgé de 46 ans, avait très vite été considéré comme étant dans un coma végétatif, alors qu'il était paralysé mais conscient dans les années quatre vingt, la technologie qui a permis de découvrir que le patient était conscient était inexistante. L'étude liégoise a revélé que sur 44 patients diagnostiques en état végétatif par les méthodes habituelles, 18 (soit 41%) étaient en état de conscience minimale. Et sur 41 patients considérés comme en " état de conscience minmale", 4 (10%) avaient en fait émergé.
Pendant ces vingt-trois ans, la famille ROM a continué d'espérer et refusé de le laisser mourir, a raconté sa mère Fina, 73 ans. Elle a emmené son fils aux Etats Unis à cinq reprises pour lui faire passer des examens, jusqu'à qu'elle soit mise en relation avec le DR Laureys.Les experts estiment que, durant son isolement, Rom Houben, voyait mal mais pouvait erntendre les médecins, infirmières, visiteurs dans sa chambre et sentir quand on le touchait. "J'ai été le témoin de ma propore souffrance lorsque les médecins et infirmières tentaient de me parler et finissaient par renoncer". a t -il raconté. Le pire a été le jour où sa mère et sa soeur sont venues lui raconter la mort de on père. Il voulait pleurer mais son corps demeurait immobile. Coupé du monde, il passait son temps à méditer. Laffaire jette aussi un éclairage nouveau sur les questions médicales et éthiques qui se posent au sujet des patients diagnostiqués comme se trouvant dans un état végétatif sans espor d'en sortir. La famille choisit parfois de les laisser mourir plutôt que de les maintenir indéfiniment dans cet état.
Le médecin de Rom Houben espère qu'il pourra à l'avenir communiquer et se déplacer en chaise roulante sans aide extérieure.
Erreur de diagnostic
Ces erreurs de diagnostic sont fréquentes. Selon l'étude, "le taux d'erreur du diagnostic de l'état végétatif n' a guère changé depuis quinze ans, quand il était évalué à 43%".
Après son accident, Rom Houben, aujourd'hui âgé de 46 ans, avait très vite été considéré comme étant dans un coma végétatif, alors qu'il était paralysé mais conscient dans les années quatre vingt, la technologie qui a permis de découvrir que le patient était conscient était inexistante. L'étude liégoise a revélé que sur 44 patients diagnostiques en état végétatif par les méthodes habituelles, 18 (soit 41%) étaient en état de conscience minimale. Et sur 41 patients considérés comme en " état de conscience minmale", 4 (10%) avaient en fait émergé.
Pendant ces vingt-trois ans, la famille ROM a continué d'espérer et refusé de le laisser mourir, a raconté sa mère Fina, 73 ans. Elle a emmené son fils aux Etats Unis à cinq reprises pour lui faire passer des examens, jusqu'à qu'elle soit mise en relation avec le DR Laureys.Les experts estiment que, durant son isolement, Rom Houben, voyait mal mais pouvait erntendre les médecins, infirmières, visiteurs dans sa chambre et sentir quand on le touchait. "J'ai été le témoin de ma propore souffrance lorsque les médecins et infirmières tentaient de me parler et finissaient par renoncer". a t -il raconté. Le pire a été le jour où sa mère et sa soeur sont venues lui raconter la mort de on père. Il voulait pleurer mais son corps demeurait immobile. Coupé du monde, il passait son temps à méditer. Laffaire jette aussi un éclairage nouveau sur les questions médicales et éthiques qui se posent au sujet des patients diagnostiqués comme se trouvant dans un état végétatif sans espor d'en sortir. La famille choisit parfois de les laisser mourir plutôt que de les maintenir indéfiniment dans cet état.
Le médecin de Rom Houben espère qu'il pourra à l'avenir communiquer et se déplacer en chaise roulante sans aide extérieure.
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L'actualité récente nous fait beaucoup penser au drame que nous vivons depuis deux ans.
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